Le 27 avril 2016, nos homologues du Parlement européen avaient adopté un ensemble de mesures pour la protection des données des personnes physiques.
Cette transposition dans le droit français répond à la nécessité d’avoir des règles dans un monde où les Big Datas ont une telle importance qu’il est difficile de ne
pas les nourrir par nos propres informations personnelles.
Le hasard du calendrier fait que l’étude de ce projet de loi intervient quelques semaines après que le dirigeant de Facebook ait annoncé le lancement d’une
messagerie expérimentale destinée aux enfants ayant entre 6 et 13 ans : Messenger Kids.
L’un des anciens dirigeants de la même entreprise expliquait lors d’une conférence qu’il interdisait à ses enfants l’accès au réseau social pour les
protéger.
Un double discours anecdotique qui met en perspective le fait que nous ne sommes pas tous égaux face aux réseaux numériques.
Écrire commentaire