Série PRé Le monde d'après, c'est maintenant
Remerciements à Frank Scurti, l'ami Michel Rein & Galerie Michel Rein
Franck Scurti a commencé à exposer dans les années 90 avec notamment Plan B (Galeries Contemporaines du Centre Pompidou en 1993), dans les années 2000, il est remarqué avec Café Erika (ENSBA à Brest, 2001), puis Before and After (Palais de Tokyo à Paris, 2002), What is Public Sculpture? (Magasin, Centre national d’art contemporain, Grenoble (2007), Work of Chance (Musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg (2011), The Brown Concept & Nouvelles Lumières de nulle part (Mamco, Genève, 2014). Plus près de nous avec More is Less (Palais de Tokyo en 2019).
Son œuvre a été également exposée au CCCOD - Centre de création contemporaine Olivier Debré (Tours), Musée d’art Contemporain (Moscou), Centre Pompidou Malaga, Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia (Madrid), CA2M - Centro de Arte Dos de Mayo (Madrid), SMAK - Stedelijk Museum voor Actuele Kunst (Gent), Power station of art (PSA) collection de la fondation Cartier (Shanghai), MAMCO - Musée d’Art Moderne et Contemporain (Genève), Queen Elizabeth Hall Riverside Terrace (Londres), Musée d’Art Contemporain de Strasbourg, Musée Picasso (Valauris), Magasin CNAC (Grenoble), Vitrines Hermes (Tokyo), Centre National de la Photographie (Paris), MAC/VAL (Vitry-sur-Seine), BPS22 (Charleroi), IAC - Institut d’Art Contemporain (Villeurbanne), Kunsthaus Baselland (Muttenz), Centre.
Sans compter de nombreuses expositions collectives. En 2020, on le retrouve à la Galerie d’Art contemporain Michel Rein, Paris, dont il est l’un des artistes fétiches.
Les chroniqueurs d’art caractérisent la démarche de Franck Scurti de conceptuelle. Ses œuvres font largement référence à notre quotidien, à l’espace urbain qui nous entoure et qu’il réinterprète. Elles nous sont souvent familières, même si elles appellent à un certain « décodage » des recompositions et des décalages proposées par l’artiste.
Franck Scurti utilise également l’actualité pour se livrer à une critique sociale, voire politique, comme par exemple avec l’installation Café Erika, du nom du pétrolier échoué sur les côtes bretonnes causant la catastrophe que l‘on sait.
Ou encore avec ces Fleurs fanées (collapse) (mai 2020).
Un catalogue monographique a été publié l’an dernier par Flammarion et le Centre national des arts plastiques (Nov. 2019).
Le monde d'après, c'est maintenant est une série du PRé composée de contributions sous forme d’articles, analyses, idées, tribunes, entretiens, chroniques de post-confinement, textes littéraires, poétiques, gestes artistiques...
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